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  Journée diocésaine du 7 décembre 2024 ND de Lourdes

 Eglise Sainte-Bernadette

1- Introduction

Chers frères et sœurs,

Nous sommes donc entrés dans cette journée par la grande porte… Le temps de lectio divina que nous venons de vivre donne d’abord la parole à Dieu. C’est bien lui qui donne tout son sens à notre rencontre, parce que c’est lui, Père, Fils et Saint-Esprit, qui est au cœur de l’aventure de la foi que nous avons chacun un jour décidé de vivre, les uns avec les autres, en Eglise.

Nous sommes le Corps du Christ. C’est saint Paul qui écrit cela aux Corinthiens : 1Co 12, 27 « … vous êtes corps du Christ et, chacun pour votre part, vous êtes membres de ce corps. » Nous sommes l’Eglise voulue par le Christ et fondée par lui sur les apôtres. Nous sommes cette Eglise concrètement établie sur ce territoire de la Bigorre et des Quatre Vallées qui constitue notre diocèse de Tarbes et Lourdes. La 1ère communauté chrétienne présente dans ce diocèse est repérée autour du prêtre saint Justin, mort martyre en 385. « Venu d'Eauze, il vécut à Tarbes. Il fut vraisemblablement l'archiprêtre du diocèse naissant. Grégoire de Tours (…), mentionne la dormition du saint prêtre Justinus dans les limites du diocèse de Bigorre, au bourg de Sexciacum. Une étude récente (…) semble indiquer qu'il s'agit de Saux (hameau de Lourdes). » Depuis saint Justin, la physionomie de l’Eglise qui est en Bigorre et Quatre Vallées n’a jamais cessé de se modifier. Sa mission elle n’a jamais changé : elle est toujours la même pour nous, et elle nous oblige.

« Ils étaient assidus à l’enseignement des Apôtres (formation) et à la communion fraternelle (vie fraternelle), à la fraction du pain et aux prières (vie de prière). Tous les croyants vivaient ensemble, et ils avaient tout en commun ; ils vendaient leurs biens et leurs possessions, et ils en partageaient le produit entre tous en fonction des besoins de chacun (service) […]. Chaque jour, le Seigneur leur adjoignait ceux qui allaient être sauvés (évangélisation). » (Actes 2, 42-47).

https://saintsaturnin.org/les-5-essentiels-de-la-vie-chretienne/

Ce texte est une référence majeure pour décrire la communauté chrétienne idéale dans son être et dans mission. Il permet de repérer ce que l’on a pris l’habitude d’appeler « les 5 essentiels de la vie chrétienne ». Ces 5 essentiels sont nos repères pour avancer en Eglise.

Ils désignent les cinq dimensions qui caractérisent la vie chrétienne : la Prière, la Fraternité, la Formation, la Service, l’Évangélisation.

[Relire Ac 2]

 - La prière : Adoration, louange, vie liturgique, seul ou en commun… « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. Voilà le grand, le premier commandement. » (Matthieu 22, 37-38)

- La fraternité : Être frère et sœur les uns des autres dans le Christ « Je vous donne un commandement nouveau : c’est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres. À ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres. » (Jean 13, 34-35)

- La formation : Formation biblique, théologique, catéchétique, humaine… Développer l’intelligence de la Foi permet de discerner et cultiver les talents et les charismes pour les mettre au service des autres.

- Le service : Compassion, charité, attentions aux plus faibles, aux petits… (diaconie) « Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. » (Matthieu 25, 40)

- L’évangélisation : Être missionnaire, annoncer le kérygme « Allez, de toutes les nations faites des disciples… » (Matthieu 28, 19)

Après le temps de lectio divina, nous allons maintenant faire un peu de théologie.

Le document final du dernier synode (« Pour une Eglise synodale : communion, participation et mission » (PES), version française provisoire, téléchargeable sur internet en attendant une proche publication disponible en librairie), écrit au n°14 : « L’Eglise existe pour témoigner au monde de l’événement décisif de l’histoire : la résurrection de Jésus. Le Ressuscité apporte la paix au monde et nous donne son Esprit. Le Christ vivant est source de la vraie liberté, fondement d’une espérance inébranlable… » C’est le cœur de notre foi. C’est notre raison d’être que de vivre cela et de désirer le partager. Nous mettre ensemble, comme Eglise diocésaine, en état de mission aujourd’hui, c’est chercher ensemble comment honorer la mission que le Christ nous confie aujourd’hui, ici, dans notre diocèse. Et Dieu sait qu’il y a à faire : j’y reviendrai !

2- L’idéal est possible !

Ceux qui m’ont entendu pendant notre pèlerinage diocésain se souviennent peut-être de ce souvenir de mes premiers pas comme aumônier de lycée à Saint-Gaudens : une classe de jeunes de Terminale souhaitent parler de l’actualité du moment, l’épidémie de SIDA et les campagnes proposées par l’Education Nationale pour enrayer l’épidémie (ils venaient d’avoir une journée de formation sur cette question et souhaitaient qu’on en reparle). Après avoir parlé de ce qui leur avait été dit lors de la journée en question, on a parlé aussi de la relation entre les personnes, sous l’angle « essayer de faire en sorte que lorsqu’une relation commence, ce soit avec la bonne personne : premier ou première, dernier ou dernière… Et là, une jeune fille s’est exprimée spontanément, sans réfléchir : « Ça, c’est l’idéal, mais ce n’est pas possible ! » J’ai compris alors qu’un des aspects de ma mission, au sens large, et sans doute aussi de la mission de l’Eglise, serait de dire que justement, l’idéal est possible, et vaut d’être désiré et choisi. »

C’est notre mission à tous, parce que c’est la mission de l’Eglise, de dire aux gens que l’idéal dont leur esprit et leur cœur ont le désir et l’intuition, est possible. Cet idéal concerne les 3 relations entre les personnes, concerne la gestion de la création, concerne la justice sociale, concerne la famille, concerne le soin dont on entoure les plus fragiles, des plus petits aux plus anciens, en passant par les pauvres et les malades, concerne le respect manifesté à l’égard de tous, concerne la fraternité et la charité universelle, concerne la liberté de croire en Dieu, ou même de pas croire en Dieu, concerne tant et tant de choses, de domaines et de personnes… L’idéal est possible, grâce à Dieu qui manifeste que la mort et le mal n’ont pas le dernier mot, que les relations entre les hommes ne sont pas régies par la loi de la jungle où le plus fort abuse du plus faible, ne sont pas régies par des pulsions de cupidité, de haine, d’égoïsme, de racisme, de sexisme et de toute autre sorte de sentiments et d’attitudes proprement non humaines et humanisantes. L’idéal est possible, grâce à Dieu, qui nous invite à une gestion juste et responsable des ressources de la terre. L’idéal est possible, grâce à Dieu, qui dans la mort et la résurrection du Christ, ouvre le ciel à l’humanité et lui dit qu’elle a raison de désirer tout cela, et plus encore !

Cet idéal qui devient possible, c’est cela la Bonne Nouvelle. Les baptisés que nous sommes toutes et tous, en sommes ensemble les missionnaires, envoyés manifester à tous que l’idéal est possible, et qu’il se réalise déjà : par l’Eglise, c’est-à-dire nous, Jésus fait marcher les boiteux, entendre les sourds, voir les aveugles, il chasse les esprits mauvais, il rend la vie aux morts… L’idéal est possible, et il se réalise ici et maintenant, si l’Eglise est vraiment l’Eglise, fidèle à la mission reçue du Christ, fidèle à vivre et incarner sa Parole concentrée dans l’évangile des Béatitudes : « Heureux les pauvres de cœur, ceux qui ont faim et soif de la justice, heureux les miséricordieux, heureux les cœurs purs, les artisans de paix, etc. »

Traditionnellement, cette mission de l’Eglise s’incarne dans les fameux 5 essentiels : la Prière, la Fraternité, la Formation, le Service, et l’Evangélisation.

Nous connaissons tous la prière dite de François d’Assise :

« Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix, Là où est la haine, que je mette l’amour. Là où est l’offense, que je mette le pardon. Là où est la discorde, que je mette l’union. Là où est l’erreur, que je mette la vérité. Là où est le doute, que je mette la foi. Là où est le désespoir, que je mette l’espérance. Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière. Là où est la tristesse, que je mette la joie. »

Et bien c’est cela que nous sommes chargés de vivre et de faire. Nous, c’est l’Eglise qui est à Tarbes et Lourdes. C’est nous tous, chacun dans nos vocations, charismes, missions, divers, et complémentaires.

3- Ensemble en Eglise missionnaire, peuple de prêtres

« L’identité du peuple de Dieu découle du baptême au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Elle se réalise comme un appel à la sainteté et un envoi en mission pour inviter tous les peuples à accueillir le don du salut. » (PES 15)

Dans l’Eglise, il y a toutes sortes de charismes, de vocations et de ministères pour la mission. Saint Paul utilise l’image du corps pour le décrire. La théologie s’appuyant sur les textes bibliques le formule d’une manière plus technique…

L’Epitre aux Hébreux expose comment et pourquoi le Christ est qualifié de prêtre, d’unique prêtre. Il réalise ce que les prêtres visaient dans les anciens temples et les anciens cultes : mettre en relation le monde de Dieu et le monde des hommes, pour vaincre la fatalité de la mort et du mal (péché). Dans l’événement de l’incarnation que nous célébrons à Noël, et dans l’événement de sa mort et de sa résurrection, cœur de la foi chrétienne, Jésus réalise parfaitement cette communion entre Dieu et les hommes : il est prêtre et parfaitement prêtre.

Notre foi dit qu’il y a deux manières distinctes de participer à cet unique sacerdoce du Christ.

Par le baptême, nous devenons tous prêtres comme le Christ est prêtre :

Lumen Gentium (LG) 10 : Le Christ Seigneur, grand prêtre d’entre les hommes (cf. He 5, 1-5) 1-5) a fait du peuple nouveau « un Royaume, des prêtres pour son Dieu et Père » (Ap 1, 6 ; 5, 9-10). (…) C’est pourquoi tous les disciples du Christ, persévérant dans la prière et la louange de Dieu (cf. Ac 2, 42-47), doivent s’offrir en victimes vivantes, saintes, agréables à Dieu (cf. Rm 12, 1), porter témoignage du Christ sur toute la surface de la terre, et rendre raison, sur toute requête, de l’espérance qui est en eux d’une vie éternelle (cf. 1 P 3, 15). Par le baptême, nous devenons tous prêtres, prophètes et rois…

Mais par l’ordination, certains deviennent encore prêtres, participant d’une autre façon à l’unique sacerdoce du Christ. Entre les deux sacerdoces, il y a une différence essentielle, non de degré dit le concile, mais de nature.

LG 10 : Le sacerdoce commun des fidèles et le sacerdoce ministériel ou hiérarchique, qui ont entre eux une différence essentielle et non seulement de degré, sont cependant ordonnés l’un à l’autre : l’un et l’autre, en effet, chacun selon son mode propre, participent de l’unique sacerdoce du Christ. (…)

Vous remarquez que l’on parle toujours de prêtre ou de sacerdoce, mais que pour distinguer les deux, il faut les qualifier différemment : sacerdoce baptismal reçu par tous au baptême donc, et sacerdoce ministériel reçu par certains à l’ordination.

Comprendre la différence entre les deux est essentiel. Je suis convaincu que bien des querelles dans l’Eglise et dans nos communautés viennent de l’incompréhension, par les uns et par les autres, et de la confusion, chez les uns et chez les autres, entre ces deux « sacerdoces » qui en réalité sont deux participations différentes à l’unique sacerdoce du Christ. Le français nous piège dans cette compréhension, là où l’hébreu, le grec ou le latin sont plus précis et évitent toute ambiguïté. Et ces deux sacerdoces sont ordonnés l’un à l’autre, articulés, l’un à l’autre.

Je m’explique  

  Dans les sacrements de l’initiation chrétienne (baptême, confirmation, eucharistie), nous devenons tous prêtres (au sens de M. Cohen, sacerdos), prophètes et rois, c’est-à-dire aptes à rendre à notre Dieu le culte qui lui revient (le louer parce qu’il est notre Créateur, le prier, lui confier le monde, etc.), aptes à l’annoncer, à parler de lui et à lui parler, aptes à organiser notre vie et celle du monde en fonction de l’avenir de la création qui sera pleinement réalisée en Dieu dans la vie éternelle.

A l’intérieur de ce corps, et à son service, au nom du Christ qui l’irrigue de part en part, il y a un autre sacerdoce (celui de M. Zaqen, presbyter), donc le ministère des évêques, des prêtres et des diacres.

4- Le diocèse et nous dans tout ça !

Pour nous, l’Eglise, se réalise concrètement dans une église locale : le diocèse. Pour qu’il y ait un diocèse, il faut une communauté chrétienne qui ait les moyens d’exister et d’honorer la mission de l’Eglise (les 5 essentiels), avec pour la conduire un évêque en communion avec l’évêque de Rome et par là, avec l’ensemble des évêques du monde, successeurs des apôtres.

L’Eglise qui est une vieille dame s’est structurée et organisée de manière pratique… Nous devons sans cesse nous rappeler que toute cette organisation, indispensable, chacun à son poste, est ordonnée à une fin : le service des 5 essentiels. L’organisation n’est pas faite pour ellemême, l’institution n’est pas faite pour le confort de ses membres, mais tout est orientée en vue de l’existence et de la mission (la Prière, la Fraternité, la Formation, la Service, l’Évangélisation).

L’Eglise est l’affaire de tous. Le synode nous le rappelle. C’est vrai pour son être et pour sa mission : les deux ne sont pas seulement de la responsabilité des prêtres, diacres et religieux, avec quelques laïcs qui les aident parce qu’ils ne peuvent plus tout faire tout seul, mais sont la responsabilité de tous les baptisés, les ministres ordonnés étant là pour les équiper pour la mission, au nom du Christ. C’est vrai aussi, donc, de son animation, de sa gouvernance. Cela se traduit par les différents conseils dont s’entoure l’évêque, pasteur général du diocèse.

Le pape François a déclaré le 17 octobre 2015 : « Le chemin de la synodalité est celui que Dieu attend de l’Eglise du troisième millénaire » La synodalité est « une dimension constitutive de l’Eglise. » La synodalité n’est rien d’autre que le fait de « marcher ensemble » ; elle indique le chemin que parcourent ensemble les membres du peuple de Dieu.

5- Conclusion

Je l’ai dit, l’objectif de cette journée, est de me donner les moyens de décider de la manière dont notre communauté diocésaine peut vivre les 5 essentiels. Cela va passer par un certain changement de culture, d’habitudes, des réformes de nos manières de faire (lesquelles ne remontent pas à saint Justin, on l’a bien compris !) Encore et encore, il nous faut remettre l’ouvrage sur le métier, et le faire dans un esprit synodal auquel nous ne sommes pas si habitués que cela habitués, ni les uns ni les autres peut-être. Nos habitudes à nous de participation de tous à l’œuvre commune, sont marquées par notre expérience de la démocratie parlementaire jusqu’à 6 mois en arrière… : il y a des points de vue qui s’affrontent ; on vote ; il y a un perdant et il y a un gagnant qui impose à 100 % son point de vue jusqu’aux élections suivantes… Le 7 modèle synodal en Eglise est lui plus près de la palabre africaine, ou de notre nouveau modèle parlementaire : c’est l’art de la négociation, du compromis, de la recherche ensemble d’un point de vue qui finit par plaire à tous. Il n’y a alors pas un camp qui gagne et un camp qui perd, mais une communauté qui gagne !

Il faut de la patience, de la formation, de la bienveillance et beaucoup de confiance pour présumer que tous veulent le meilleur pour tous, bien à l’écoute de la Parole de Dieu portée par la Bible et accueillie par la foi. Dans ce cadre, il nous faut réexaminer notre manière de servir l’être et la mission de l’Eglise dans les villes et villages du diocèse, dans les mondes plus spécifiques des enfants, des jeunes, des étudiants, de la santé, des prisons, dans le soutien des familles et de ceux qui s’engagent dans le sacrement du mariage, dans l’accueil et l’accompagnement de toutes sortes de situations que vivent nos contemporains et qui touchent nos familles : personnes divorcées, divorcées remariées, personnes homosexuelles, personnes célibataires « malgré elles », personnes isolées, personnes aux prises avec des addictions, victimes de sectes, personnes ayant souffert d’abus, dans l’Eglise, ou ailleurs… La bonne nouvelle est pour tous, « tous, tous, tous » martelait le pape aux jeunes à Lisbonne en aout 2023. Comment notre diocèse s’y prend pour honorer les 5 essentiels du Livre des Actes des Apôtres ?

Pas de tabou, beaucoup d’imagination et beaucoup de charité entre nous. Il faudra sans aucun doute être prêts à des changements : merci d’avance de ne pas m’envoyer de pétitions le jour où, après avoir collecté tout cela, après avoir mis les différents conseils au travail, des options seront faites et des décisions annoncées… Quelques pistes ou conditions pour relever le défi : pardonnons-nous nos maladresses, pensons toujours que l’autre est bien intentionné, expliquons-nous si ça coince, et essayons de trouver ensemble le meilleur chemin.

Merci à tous de tout cœur, et merci au Seigneur pour notre belle Eglise diocésaine !

Questions pour l’échange :

1- Les 5 essentiels : qu’est-ce que je comprends de cette façon de présenter l’être et la mission de l’Eglise ?

2- Sacerdoce baptismal – sacerdoce ministériel : quelle conversion dans ma vision des choses   

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